Les messages s'affichent du plus récent au plus ancien. Comme LGF a la flemme d'améliorer votre confort de lecture et qu'elle publie ses billets en plusieurs fois (ça fait des économies d'énergie), ce n'est pas très pratique. Le seul effort qu'elle a consenti, c'est de classer les archives dans l'ordre chronologique: si vous découvrez le blog, mieux vaut passer par là (ci-dessous, tout en bas). Mais bon, promis, à force de se vernir les ongles en y réfléchissant, LGF finira peut-être par trouver une solution...
Une réunion de travail réussie
Mon bureau
A garder à l'esprit...
" S'il est vrai que l'humour est la politesse du désespoir, s'il est vrai que le rire [...] peut parfois désacraliser la bêtise, exorciser les chagrins véritables et fustiger les angoisses mortelles, alors oui, on peut rire de tout, on doit rire de tout. " (P. Desproges, Vivons heureux en attendant la mort)
n. f. : équivalent argotique de „fainéant“, formé (1890) avec le suffixe péjoratif „asse“ (cf. faignantasse, 1927, Mauriac). —
Fainéant, fainéante, subst. et adj. 1. Personne qui ne veut rien faire. 2. Personne qui n'a rien (ou peu de choses) à faire. Syn. paresseux ; (Quasi-)synon. désœuvré, inactif, oisif, fonctionnaire; anton. actif, « travailler plus pour gagner plus ». —
Etymologie : de faignant, feignant, formes verbales de verbe feindre (1080) au sens de « se dérober, rester inactif ». Elles ont été altérées en « fainéant » d’après fait (forme verbale de faire) et néant…
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