“Tu te la coules douce, c'est un métier de feignant que le tien.”
Raymond QUENEAU, Zazie dans le métro.
mercredi 11 février 2009
Une aventure inédite du Petit Nicolas
Cette aventure inédite est déjà en ligne sur Fabula, mais elle sera publiée ici avec des illustrations. Patience... (n'oubliez pas que vous êtes sur le blog d'une grosse feignasse...)
Les messages s'affichent du plus récent au plus ancien. Comme LGF a la flemme d'améliorer votre confort de lecture et qu'elle publie ses billets en plusieurs fois (ça fait des économies d'énergie), ce n'est pas très pratique. Le seul effort qu'elle a consenti, c'est de classer les archives dans l'ordre chronologique: si vous découvrez le blog, mieux vaut passer par là (ci-dessous, tout en bas). Mais bon, promis, à force de se vernir les ongles en y réfléchissant, LGF finira peut-être par trouver une solution...
Une réunion de travail réussie
Mon bureau
A garder à l'esprit...
" S'il est vrai que l'humour est la politesse du désespoir, s'il est vrai que le rire [...] peut parfois désacraliser la bêtise, exorciser les chagrins véritables et fustiger les angoisses mortelles, alors oui, on peut rire de tout, on doit rire de tout. " (P. Desproges, Vivons heureux en attendant la mort)
n. f. : équivalent argotique de „fainéant“, formé (1890) avec le suffixe péjoratif „asse“ (cf. faignantasse, 1927, Mauriac). —
Fainéant, fainéante, subst. et adj. 1. Personne qui ne veut rien faire. 2. Personne qui n'a rien (ou peu de choses) à faire. Syn. paresseux ; (Quasi-)synon. désœuvré, inactif, oisif, fonctionnaire; anton. actif, « travailler plus pour gagner plus ». —
Etymologie : de faignant, feignant, formes verbales de verbe feindre (1080) au sens de « se dérober, rester inactif ». Elles ont été altérées en « fainéant » d’après fait (forme verbale de faire) et néant…
Chère grosse feignasse,
RépondreSupprimerDepuis que nous t'avons découverte, nous riions... malgré tout.
Nous te remercions.
Sylvie, une autre grosse feignasse .