“Tu te la coules douce, c'est un métier de feignant que le tien.”
Raymond QUENEAU, Zazie dans le métro.
vendredi 20 février 2009
TLF post manif
Trop la flemme d'écrire aujourd'hui. Du coup, comme le suggère judicieusement l'une de mes collègues, je vais dépenser toute mon énergie dans le classement de sandales.
Je tiens à déclarer ici même que j'ai fait gagner 4 points et 2 places à l'Université de Picardie, pour la remercier de m'inviter à un colloque au printemps. Peut-être que ça me dispensera de dire merci en organisant moi-même un colloque pour inviter les Picards, à lire la TGF ça semble bien fatigant d'organiser un colloque. Il faudrait que le Ministère fasse cesser ce sandales. Je suis sûre qu'il essaie. Le site beugue un peu trop souvent.
Les messages s'affichent du plus récent au plus ancien. Comme LGF a la flemme d'améliorer votre confort de lecture et qu'elle publie ses billets en plusieurs fois (ça fait des économies d'énergie), ce n'est pas très pratique. Le seul effort qu'elle a consenti, c'est de classer les archives dans l'ordre chronologique: si vous découvrez le blog, mieux vaut passer par là (ci-dessous, tout en bas). Mais bon, promis, à force de se vernir les ongles en y réfléchissant, LGF finira peut-être par trouver une solution...
Une réunion de travail réussie
Mon bureau
A garder à l'esprit...
" S'il est vrai que l'humour est la politesse du désespoir, s'il est vrai que le rire [...] peut parfois désacraliser la bêtise, exorciser les chagrins véritables et fustiger les angoisses mortelles, alors oui, on peut rire de tout, on doit rire de tout. " (P. Desproges, Vivons heureux en attendant la mort)
n. f. : équivalent argotique de „fainéant“, formé (1890) avec le suffixe péjoratif „asse“ (cf. faignantasse, 1927, Mauriac). —
Fainéant, fainéante, subst. et adj. 1. Personne qui ne veut rien faire. 2. Personne qui n'a rien (ou peu de choses) à faire. Syn. paresseux ; (Quasi-)synon. désœuvré, inactif, oisif, fonctionnaire; anton. actif, « travailler plus pour gagner plus ». —
Etymologie : de faignant, feignant, formes verbales de verbe feindre (1080) au sens de « se dérober, rester inactif ». Elles ont été altérées en « fainéant » d’après fait (forme verbale de faire) et néant…
Je tiens à déclarer ici même que j'ai fait gagner 4 points et 2 places à l'Université de Picardie, pour la remercier de m'inviter à un colloque au printemps. Peut-être que ça me dispensera de dire merci en organisant moi-même un colloque pour inviter les Picards, à lire la TGF ça semble bien fatigant d'organiser un colloque.
RépondreSupprimerIl faudrait que le Ministère fasse cesser ce sandales. Je suis sûre qu'il essaie. Le site beugue un peu trop souvent.